Les sanglots longs des violons de l’automne,
Blessent mon coeur d’une langueur monotone;
Tout suffocant et blême quando sonne l’heure
Je me souviens des jours anciens et je pleure.
Et je m’envais au vent mauvais que m’emporte,
De ça, de lá, pareil à la feuille morte.
Il y a um vent mauvais qui nous emporte,
Le signe du temps que frappe à la porte;
La destruction se fait dejá sentir,
À l’horizon on voit un sombre avenir.
Il faut pas se faire des fausses illusions,
La realité c’est la dévastation;
La tecnologie ne saura pas traiter
La maladie de la recession, de l’inflation,
De la pollution, de la contamination...
Les cataclismes gagnent en intensité
À cause de l’effect de serre,
Effect de la stupidité;
C’est le déséquilibre écologique
Suivi de transformations climatiques.
Ce ne sont que quelques prévisions,
Ce n’est que purement de la logique;
Il y a trop de bouches à nourrir,
Peux de pain a repartir;
Ça c’est la guérre tribale en Babylone,
De la misère,
De la faim et puis de l’hecatombe.
Épidemies, secherèsses, innondations,
Froid rigoureux, chaleur torride,
Tourmentes en action.
Tempêtes de plus en plus terribles,
L’homme en pleine dégradation.
C’est l’insurrection de la planéte,
C’est la vie en dégéneration...
C’est la vie, c’est la vie, en dégéneration...